Si les psys proclament qu'il
est toujours préférable de
"dire les choses", je crois
que c'est un leurre. Parler
revient seulement Ã
formuler le mal qui vous
ronge, non à l'expulser. Ce
n'est pas comme de vomir
un repas indigeste, une
réaction naturelle qui vous
laisse purgé, lavé et prêt Ã
vous remettre à table. Tout
ce que l'on peut penser,
après s'être confié, c'est
"Voila, je l'ai dis et... rien n'a
changé.