ºÝºÝߣshows by User: LaureSiegel / http://www.slideshare.net/images/logo.gif ºÝºÝߣshows by User: LaureSiegel / Thu, 04 Jul 2013 19:11:40 GMT ºÝºÝߣShare feed for ºÝºÝߣshows by User: LaureSiegel Inked Girls - version étendue https://fr.slideshare.net/slideshow/inked-girls-version-tendue/23924918 inkedgirls-130704191140-phpapp01
Depuis une dizaine d'années, les femmes ont largement investi le milieu du tatouage. Professionnelles ou clientes, elle se juchent pratiquement à égalité avec les hommes qui ont tenu le haut de l'affiche pendant des décennies. Certaines conventions, comme la Dutch Ladies aux Pays-Bas ou le Female Tattoo Show au Royaume-Uni sont exclusivement réservées aux tatoueuses. « Bodies of subversion », l'ouvrage de référence sur l'histoire des femmes dans cet art historiquement trangressif a été réédité au début de l'année. Il retrace leur rôle, des spectacles itinérants du Far-West à la télé-réalité (comme L.A. Ink), en passant par les premières artistes reconnues et les riot grrrl, mouvement punk-rock féministe ayant émergé à Washington. Mieux acceptées, les femmes massivement tatouées gardent indéniablement un pied dans la contreculture : beaucoup d'entre elles travaillent de près ou de loin dans le milieu des modifications corporelles, certaines d'entre elles sont artistes ou modèles, entre autres pour le site américain de charme SuicideGirls.com. Véritable institution de l'alternatif née à Portland en 2001, elle met en avant des filles tatouées et/ou percées. Une référence à la notion de suicide social, terme fondateur de Survivor, le roman de Chuck Palahniuk, retentissant auteur de Fight Club. Alors, suicide social ou démarche émancipatrice ? Une quinzaine de femmes tatouées françaises, américaines, belges, italiennes, s'expriment sur leur métiers, leurs quotidiens, leurs projets et leurs corps. Des corps souvent reluqués mais toujours assumés, même s'ils barrent la voie à certaines vocations, attendant impatiemment le fameux « changement de mentalités ». Textes : Laure Siegel / Photos : P-Mod]]>

Depuis une dizaine d'années, les femmes ont largement investi le milieu du tatouage. Professionnelles ou clientes, elle se juchent pratiquement à égalité avec les hommes qui ont tenu le haut de l'affiche pendant des décennies. Certaines conventions, comme la Dutch Ladies aux Pays-Bas ou le Female Tattoo Show au Royaume-Uni sont exclusivement réservées aux tatoueuses. « Bodies of subversion », l'ouvrage de référence sur l'histoire des femmes dans cet art historiquement trangressif a été réédité au début de l'année. Il retrace leur rôle, des spectacles itinérants du Far-West à la télé-réalité (comme L.A. Ink), en passant par les premières artistes reconnues et les riot grrrl, mouvement punk-rock féministe ayant émergé à Washington. Mieux acceptées, les femmes massivement tatouées gardent indéniablement un pied dans la contreculture : beaucoup d'entre elles travaillent de près ou de loin dans le milieu des modifications corporelles, certaines d'entre elles sont artistes ou modèles, entre autres pour le site américain de charme SuicideGirls.com. Véritable institution de l'alternatif née à Portland en 2001, elle met en avant des filles tatouées et/ou percées. Une référence à la notion de suicide social, terme fondateur de Survivor, le roman de Chuck Palahniuk, retentissant auteur de Fight Club. Alors, suicide social ou démarche émancipatrice ? Une quinzaine de femmes tatouées françaises, américaines, belges, italiennes, s'expriment sur leur métiers, leurs quotidiens, leurs projets et leurs corps. Des corps souvent reluqués mais toujours assumés, même s'ils barrent la voie à certaines vocations, attendant impatiemment le fameux « changement de mentalités ». Textes : Laure Siegel / Photos : P-Mod]]>
Thu, 04 Jul 2013 19:11:40 GMT https://fr.slideshare.net/slideshow/inked-girls-version-tendue/23924918 LaureSiegel@slideshare.net(LaureSiegel) Inked Girls - version étendue LaureSiegel Depuis une dizaine d'années, les femmes ont largement investi le milieu du tatouage. Professionnelles ou clientes, elle se juchent pratiquement à égalité avec les hommes qui ont tenu le haut de l'affiche pendant des décennies. Certaines conventions, comme la Dutch Ladies aux Pays-Bas ou le Female Tattoo Show au Royaume-Uni sont exclusivement réservées aux tatoueuses. « Bodies of subversion », l'ouvrage de référence sur l'histoire des femmes dans cet art historiquement trangressif a été réédité au début de l'année. Il retrace leur rôle, des spectacles itinérants du Far-West à la télé-réalité (comme L.A. Ink), en passant par les premières artistes reconnues et les riot grrrl, mouvement punk-rock féministe ayant émergé à Washington. Mieux acceptées, les femmes massivement tatouées gardent indéniablement un pied dans la contreculture : beaucoup d'entre elles travaillent de près ou de loin dans le milieu des modifications corporelles, certaines d'entre elles sont artistes ou modèles, entre autres pour le site américain de charme SuicideGirls.com. Véritable institution de l'alternatif née à Portland en 2001, elle met en avant des filles tatouées et/ou percées. Une référence à la notion de suicide social, terme fondateur de Survivor, le roman de Chuck Palahniuk, retentissant auteur de Fight Club. Alors, suicide social ou démarche émancipatrice ? Une quinzaine de femmes tatouées françaises, américaines, belges, italiennes, s'expriment sur leur métiers, leurs quotidiens, leurs projets et leurs corps. Des corps souvent reluqués mais toujours assumés, même s'ils barrent la voie à certaines vocations, attendant impatiemment le fameux « changement de mentalités ». Textes : Laure Siegel / Photos : P-Mod <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/inkedgirls-130704191140-phpapp01-thumbnail.jpg?width=120&amp;height=120&amp;fit=bounds" /><br> Depuis une dizaine d&#39;années, les femmes ont largement investi le milieu du tatouage. Professionnelles ou clientes, elle se juchent pratiquement à égalité avec les hommes qui ont tenu le haut de l&#39;affiche pendant des décennies. Certaines conventions, comme la Dutch Ladies aux Pays-Bas ou le Female Tattoo Show au Royaume-Uni sont exclusivement réservées aux tatoueuses. « Bodies of subversion », l&#39;ouvrage de référence sur l&#39;histoire des femmes dans cet art historiquement trangressif a été réédité au début de l&#39;année. Il retrace leur rôle, des spectacles itinérants du Far-West à la télé-réalité (comme L.A. Ink), en passant par les premières artistes reconnues et les riot grrrl, mouvement punk-rock féministe ayant émergé à Washington. Mieux acceptées, les femmes massivement tatouées gardent indéniablement un pied dans la contreculture : beaucoup d&#39;entre elles travaillent de près ou de loin dans le milieu des modifications corporelles, certaines d&#39;entre elles sont artistes ou modèles, entre autres pour le site américain de charme SuicideGirls.com. Véritable institution de l&#39;alternatif née à Portland en 2001, elle met en avant des filles tatouées et/ou percées. Une référence à la notion de suicide social, terme fondateur de Survivor, le roman de Chuck Palahniuk, retentissant auteur de Fight Club. Alors, suicide social ou démarche émancipatrice ? Une quinzaine de femmes tatouées françaises, américaines, belges, italiennes, s&#39;expriment sur leur métiers, leurs quotidiens, leurs projets et leurs corps. Des corps souvent reluqués mais toujours assumés, même s&#39;ils barrent la voie à certaines vocations, attendant impatiemment le fameux « changement de mentalités ». Textes : Laure Siegel / Photos : P-Mod
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