şÝşÝߣshows by User: alejandromunevars / http://www.slideshare.net/images/logo.gif şÝşÝߣshows by User: alejandromunevars / Wed, 27 Aug 2014 11:39:43 GMT şÝşÝߣShare feed for şÝşÝߣshows by User: alejandromunevars Pourquoi ne croit on pas les sociologues https://fr.slideshare.net/slideshow/pourquoi-ne-croit-on-pas-les-sociologues/38418852 pourquoinecroit-onpaslessociologues-140827113944-phpapp01
Dans un débat sur l’utilité sociale de la sociologie, il est des figures imposées comme celles qui opposent le “savant” au “politique”, la sociologie scientifique à la sociologie profane, la sociologie critique à la sociologie mondaine... Ce qui n’empêche d’ailleurs pas la posture critique d’assurer les plus grands succès mondains, voire même d’en être un des ingrédients. Débats sans doute intéressants et utiles mais que je préfère contourner pour réfléchir sur une expérience plus banale et plus directe, celle de la rencontre d’un travail que je considérerai, par convention, comme sociologique, et d’un monde social composé d’acteurs divers, lecteurs, syndicalistes, hommes politiques... Expérience modeste aussi car aucun de mes livres, individuel ou collectif, n’a été ce qu’on appelle un best-seller (je me limiterai ici aux travaux sur l’éducation). Cependant, chacun de ces travaux a donné lieu à un très grand nombre de conférences et de débats, soit avec des lecteurs, soit avec des personnes intéressées par les problèmes de l’éducation et de la jeunesse : enseignants, étudiants des IUFM, militants pédagogiques... Ces rencontres provoquent des réactions si régulières et si prévisibles qu’il est possible d’en tirer quelques observations et quelques leçons quant à l’influence de la sociologie de l’éducation sur ce que, faute de mieux, on pourrait appeler l’opinion éclairée. Évidemment, je ferai comme si mes recherches singulières n’étaient pas en cause dans cette analyse et comme si elles participaient de la sociologie en général.]]>
Dans un débat sur l’utilité sociale de la sociologie, il est des figures imposées comme celles qui opposent le “savant” au “politique”, la sociologie scientifique à la sociologie profane, la sociologie critique à la sociologie mondaine... Ce qui n’empêche d’ailleurs pas la posture critique d’assurer les plus grands succès mondains, voire même d’en être un des ingrédients. Débats sans doute intéressants et utiles mais que je préfère contourner pour réfléchir sur une expérience plus banale et plus directe, celle de la rencontre d’un travail que je considérerai, par convention, comme sociologique, et d’un monde social composé d’acteurs divers, lecteurs, syndicalistes, hommes politiques... Expérience modeste aussi car aucun de mes livres, individuel ou collectif, n’a été ce qu’on appelle un best-seller (je me limiterai ici aux travaux sur l’éducation). Cependant, chacun de ces travaux a donné lieu à un très grand nombre de conférences et de débats, soit avec des lecteurs, soit avec des personnes intéressées par les problèmes de l’éducation et de la jeunesse : enseignants, étudiants des IUFM, militants pédagogiques... Ces rencontres provoquent des réactions si régulières et si prévisibles qu’il est possible d’en tirer quelques observations et quelques leçons quant à l’influence de la sociologie de l’éducation sur ce que, faute de mieux, on pourrait appeler l’opinion éclairée. Évidemment, je ferai comme si mes recherches singulières n’étaient pas en cause dans cette analyse et comme si elles participaient de la sociologie en général.]]> Wed, 27 Aug 2014 11:39:43 GMT https://fr.slideshare.net/slideshow/pourquoi-ne-croit-on-pas-les-sociologues/38418852 alejandromunevars@slideshare.net(alejandromunevars) Pourquoi ne croit on pas les sociologues alejandromunevars Dans un débat sur l’utilité sociale de la sociologie, il est des figures imposées comme celles qui opposent le “savant” au “politique”, la sociologie scientifique à la sociologie profane, la sociologie critique à la sociologie mondaine... Ce qui n’empêche d’ailleurs pas la posture critique d’assurer les plus grands succès mondains, voire même d’en être un des ingrédients. Débats sans doute intéressants et utiles mais que je préfère contourner pour réfléchir sur une expérience plus banale et plus directe, celle de la rencontre d’un travail que je considérerai, par convention, comme sociologique, et d’un monde social composé d’acteurs divers, lecteurs, syndicalistes, hommes politiques... Expérience modeste aussi car aucun de mes livres, individuel ou collectif, n’a été ce qu’on appelle un best-seller (je me limiterai ici aux travaux sur l’éducation). Cependant, chacun de ces travaux a donné lieu à un très grand nombre de conférences et de débats, soit avec des lecteurs, soit avec des personnes intéressées par les problèmes de l’éducation et de la jeunesse : enseignants, étudiants des IUFM, militants pédagogiques... Ces rencontres provoquent des réactions si régulières et si prévisibles qu’il est possible d’en tirer quelques observations et quelques leçons quant à l’influence de la sociologie de l’éducation sur ce que, faute de mieux, on pourrait appeler l’opinion éclairée. Évidemment, je ferai comme si mes recherches singulières n’étaient pas en cause dans cette analyse et comme si elles participaient de la sociologie en général. <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/pourquoinecroit-onpaslessociologues-140827113944-phpapp01-thumbnail.jpg?width=120&amp;height=120&amp;fit=bounds" /><br> Dans un débat sur l’utilité sociale de la sociologie, il est des figures imposées comme celles qui opposent le “savant” au “politique”, la sociologie scientifique à la sociologie profane, la sociologie critique à la sociologie mondaine... Ce qui n’empêche d’ailleurs pas la posture critique d’assurer les plus grands succès mondains, voire même d’en être un des ingrédients. Débats sans doute intéressants et utiles mais que je préfère contourner pour réfléchir sur une expérience plus banale et plus directe, celle de la rencontre d’un travail que je considérerai, par convention, comme sociologique, et d’un monde social composé d’acteurs divers, lecteurs, syndicalistes, hommes politiques... Expérience modeste aussi car aucun de mes livres, individuel ou collectif, n’a été ce qu’on appelle un best-seller (je me limiterai ici aux travaux sur l’éducation). Cependant, chacun de ces travaux a donné lieu à un très grand nombre de conférences et de débats, soit avec des lecteurs, soit avec des personnes intéressées par les problèmes de l’éducation et de la jeunesse : enseignants, étudiants des IUFM, militants pédagogiques... Ces rencontres provoquent des réactions si régulières et si prévisibles qu’il est possible d’en tirer quelques observations et quelques leçons quant à l’influence de la sociologie de l’éducation sur ce que, faute de mieux, on pourrait appeler l’opinion éclairée. Évidemment, je ferai comme si mes recherches singulières n’étaient pas en cause dans cette analyse et comme si elles participaient de la sociologie en général.
from Alejandro Munčľżvar Salazar
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Una reflexión al respecto de la investigación del género, la violencia sexual y el conflicto armado, en contextos de alta inseguridad.]]>
Una reflexión al respecto de la investigación del género, la violencia sexual y el conflicto armado, en contextos de alta inseguridad.]]> Wed, 27 Aug 2014 11:05:21 GMT /slideshow/140814-textoten-reasons-not-to-write/38417455 alejandromunevars@slideshare.net(alejandromunevars) 140814 texto-ten reasons not to write alejandromunevars Una reflexión al respecto de la investigación del género, la violencia sexual y el conflicto armado, en contextos de alta inseguridad. <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/140814-texto-tenreasonsnottowrite-140827110521-phpapp01-thumbnail.jpg?width=120&amp;height=120&amp;fit=bounds" /><br> Una reflexión al respecto de la investigación del género, la violencia sexual y el conflicto armado, en contextos de alta inseguridad.
140814 texto-ten reasons not to write from Alejandro Munčľżvar Salazar
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Beyond the stories of collapse, devastation, and moral uncertainty in Iraq’s recent history there are tales of connections, relations, and the entanglements of lives which are named in forms such as friendship and family, and modes of comporting to others such as care, attention, and even love, which have yet to become part of how one thinks and writes about life after the invasion. In this article the authors draw attention to a picture of the lives of Iraqis as caught not merely in the forms and structures of tribal obligations and sectarianism, and the violence and destruction of terror, but also in the rough ground of mundane affairs and encounters. We argue that in the overlappings and relations of lives and intentionalities resides an intercorporeal ethics of the rough ground of the everyday. An ethics of the rough ground of the everyday is one understood not only in terms of the ways in which life is open to the pain, suffering, joy, and ennui of others, but in terms of how in the entanglements and relations of lives with other lives in the everyday, lines of care and concern emerge, are fostered, and also frayed.]]>
Beyond the stories of collapse, devastation, and moral uncertainty in Iraq’s recent history there are tales of connections, relations, and the entanglements of lives which are named in forms such as friendship and family, and modes of comporting to others such as care, attention, and even love, which have yet to become part of how one thinks and writes about life after the invasion. In this article the authors draw attention to a picture of the lives of Iraqis as caught not merely in the forms and structures of tribal obligations and sectarianism, and the violence and destruction of terror, but also in the rough ground of mundane affairs and encounters. We argue that in the overlappings and relations of lives and intentionalities resides an intercorporeal ethics of the rough ground of the everyday. An ethics of the rough ground of the everyday is one understood not only in terms of the ways in which life is open to the pain, suffering, joy, and ennui of others, but in terms of how in the entanglements and relations of lives with other lives in the everyday, lines of care and concern emerge, are fostered, and also frayed.]]> Wed, 27 Aug 2014 10:47:05 GMT /slideshow/140827-texto-2ethics-and-the-rough-gorund-of-the-everyday/38416677 alejandromunevars@slideshare.net(alejandromunevars) 140827 texto 2-ethics and the rough gorund of the everyday alejandromunevars Beyond the stories of collapse, devastation, and moral uncertainty in Iraq’s recent history there are tales of connections, relations, and the entanglements of lives which are named in forms such as friendship and family, and modes of comporting to others such as care, attention, and even love, which have yet to become part of how one thinks and writes about life after the invasion. In this article the authors draw attention to a picture of the lives of Iraqis as caught not merely in the forms and structures of tribal obligations and sectarianism, and the violence and destruction of terror, but also in the rough ground of mundane affairs and encounters. We argue that in the overlappings and relations of lives and intentionalities resides an intercorporeal ethics of the rough ground of the everyday. An ethics of the rough ground of the everyday is one understood not only in terms of the ways in which life is open to the pain, suffering, joy, and ennui of others, but in terms of how in the entanglements and relations of lives with other lives in the everyday, lines of care and concern emerge, are fostered, and also frayed. <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/140827-texto2-ethicsandtheroughgorundoftheeveryday-140827104705-phpapp02-thumbnail.jpg?width=120&amp;height=120&amp;fit=bounds" /><br> Beyond the stories of collapse, devastation, and moral uncertainty in Iraq’s recent history there are tales of connections, relations, and the entanglements of lives which are named in forms such as friendship and family, and modes of comporting to others such as care, attention, and even love, which have yet to become part of how one thinks and writes about life after the invasion. In this article the authors draw attention to a picture of the lives of Iraqis as caught not merely in the forms and structures of tribal obligations and sectarianism, and the violence and destruction of terror, but also in the rough ground of mundane affairs and encounters. We argue that in the overlappings and relations of lives and intentionalities resides an intercorporeal ethics of the rough ground of the everyday. An ethics of the rough ground of the everyday is one understood not only in terms of the ways in which life is open to the pain, suffering, joy, and ennui of others, but in terms of how in the entanglements and relations of lives with other lives in the everyday, lines of care and concern emerge, are fostered, and also frayed.
140827 texto 2-ethics and the rough gorund of the everyday from Alejandro Munčľżvar Salazar
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