�ݺ�ߣshows by User: charlyperez

�ݺ�ߣshows by User: charlyperez / http://www.slideshare.net/images/logo.gif �ݺ�ߣshows by User: charlyperez / Wed, 18 Dec 2024 17:55:30 GMT �ݺ�ߣShare feed for �ݺ�ߣshows by User: charlyperez Ouvrage de Charles Perez Le métavers est mort https://fr.slideshare.net/slideshow/ouvrage-de-charles-perez-le-metavers-est-mort/274189865 lemetaversestmort-241218175530-f6c1ef2c
Le métavers, cet univers virtuel aux promesses infinies, a d’abord captivé l’imaginaire collectif par sa capacité à transcender les frontières du réel. Ses premières heures ont été marquées par un enthousiasme quasi-mystique, une promesse d’évasion totale, d’interactions inédites, d’une nouvelle forme de présence. Et pourtant, aujourd’hui, on murmure qu’il serait déjà mort, que ses ambitions se seraient dissoutes dans l’écume des désillusions technologiques. Mais qu’est-ce réellement que cette “mort” du métavers ? Ne s’agit-il pas, au fond, de cette transformation discrète et silencieuse qui affecte toute innovation à ses débuts, cette lente mue qui échappe aux regards trop pressés de juger ? Si le métavers ne tient pas les promesses tonitruantes que l’on attendait de lui, c’est peut-être parce qu’il évolue, presque en retrait, loin des projecteurs, pour se redéployer autrement. Ainsi, ce que l’on pense fini n’est souvent que l’amorce d’un nouveau commencement. Ce livre propose un voyage au cœur de cette évolution, loin des excès d’optimisme ou des jugements hâtifs. Il questionne, non pas la réussite ou l’échec du métavers, mais les voies qu’il emprunte pour trouver sa véritable place dans nos vies. D’abord perçu comme un bouleversement radical, il se révèle peu à peu comme un espace qui s’installe progressivement, sans fracas, dans des usages plus pragmatiques et modestes. Ce qui semblait voué à l’éphémère pourrait finalement devenir une part plus subtile, plus durable, de notre quotidien numérique. Dans ces pages, il ne s’agit pas de célébrer ou de condamner le métavers, mais d’en comprendre les nuances. Les grandes révolutions, comme celle-ci, ne se déroulent jamais de manière linéaire. Elles vacillent, trébuchent, se relèvent. Le métavers n’échappe pas à cette règle. Il n’est pas l’objet d’un échec retentissant, mais d’une métamorphose, d’une adaptation continue aux réalités de notre époque, où il se cherche encore. En abordant le métavers sous cet angle, nous sommes invités à reconsidérer ce que nous attendons des technologies. Elles ne viennent pas pour tout changer d’un coup de baguette magique, mais pour se glisser dans les interstices de nos vies, en redéfinissant imperceptiblement nos pratiques et nos relations au monde. Le métavers ne fait pas exception : il chemine, parfois à tâtons, vers une intégration plus discrète, mais peut-être plus essentielle qu’il n’y paraît. Ainsi, Le métavers est mort ne constate pas la fin d’un rêve, mais en scrute la transformation. C’est une invitation à réfléchir à la manière dont cette technologie, bien loin d’être enterrée, continue de se réinventer. Peut-être moins visible, moins spectaculaire, elle n’en reste pas moins porteuse de promesses – pour ceux qui savent observer, patiemment, les lentes métamorphoses du progrès.]]>
Le métavers, cet univers virtuel aux promesses infinies, a d’abord captivé l’imaginaire collectif par sa capacité à transcender les frontières du réel. Ses premières heures ont été marquées par un enthousiasme quasi-mystique, une promesse d’évasion totale, d’interactions inédites, d’une nouvelle forme de présence. Et pourtant, aujourd’hui, on murmure qu’il serait déjà mort, que ses ambitions se seraient dissoutes dans l’écume des désillusions technologiques. Mais qu’est-ce réellement que cette “mort” du métavers ? Ne s’agit-il pas, au fond, de cette transformation discrète et silencieuse qui affecte toute innovation à ses débuts, cette lente mue qui échappe aux regards trop pressés de juger ? Si le métavers ne tient pas les promesses tonitruantes que l’on attendait de lui, c’est peut-être parce qu’il évolue, presque en retrait, loin des projecteurs, pour se redéployer autrement. Ainsi, ce que l’on pense fini n’est souvent que l’amorce d’un nouveau commencement. Ce livre propose un voyage au cœur de cette évolution, loin des excès d’optimisme ou des jugements hâtifs. Il questionne, non pas la réussite ou l’échec du métavers, mais les voies qu’il emprunte pour trouver sa véritable place dans nos vies. D’abord perçu comme un bouleversement radical, il se révèle peu à peu comme un espace qui s’installe progressivement, sans fracas, dans des usages plus pragmatiques et modestes. Ce qui semblait voué à l’éphémère pourrait finalement devenir une part plus subtile, plus durable, de notre quotidien numérique. Dans ces pages, il ne s’agit pas de célébrer ou de condamner le métavers, mais d’en comprendre les nuances. Les grandes révolutions, comme celle-ci, ne se déroulent jamais de manière linéaire. Elles vacillent, trébuchent, se relèvent. Le métavers n’échappe pas à cette règle. Il n’est pas l’objet d’un échec retentissant, mais d’une métamorphose, d’une adaptation continue aux réalités de notre époque, où il se cherche encore. En abordant le métavers sous cet angle, nous sommes invités à reconsidérer ce que nous attendons des technologies. Elles ne viennent pas pour tout changer d’un coup de baguette magique, mais pour se glisser dans les interstices de nos vies, en redéfinissant imperceptiblement nos pratiques et nos relations au monde. Le métavers ne fait pas exception : il chemine, parfois à tâtons, vers une intégration plus discrète, mais peut-être plus essentielle qu’il n’y paraît. Ainsi, Le métavers est mort ne constate pas la fin d’un rêve, mais en scrute la transformation. C’est une invitation à réfléchir à la manière dont cette technologie, bien loin d’être enterrée, continue de se réinventer. Peut-être moins visible, moins spectaculaire, elle n’en reste pas moins porteuse de promesses – pour ceux qui savent observer, patiemment, les lentes métamorphoses du progrès.]]> Wed, 18 Dec 2024 17:55:30 GMT https://fr.slideshare.net/slideshow/ouvrage-de-charles-perez-le-metavers-est-mort/274189865 charlyperez@slideshare.net(charlyperez) Ouvrage de Charles Perez Le métavers est mort charlyperez Le métavers, cet univers virtuel aux promesses infinies, a d’abord captivé l’imaginaire collectif par sa capacité à transcender les frontières du réel. Ses premières heures ont été marquées par un enthousiasme quasi-mystique, une promesse d’évasion totale, d’interactions inédites, d’une nouvelle forme de présence. Et pourtant, aujourd’hui, on murmure qu’il serait déjà mort, que ses ambitions se seraient dissoutes dans l’écume des désillusions technologiques. Mais qu’est-ce réellement que cette “mort” du métavers ? Ne s’agit-il pas, au fond, de cette transformation discrète et silencieuse qui affecte toute innovation à ses débuts, cette lente mue qui échappe aux regards trop pressés de juger ? Si le métavers ne tient pas les promesses tonitruantes que l’on attendait de lui, c’est peut-être parce qu’il évolue, presque en retrait, loin des projecteurs, pour se redéployer autrement. Ainsi, ce que l’on pense fini n’est souvent que l’amorce d’un nouveau commencement. Ce livre propose un voyage au cœur de cette évolution, loin des excès d’optimisme ou des jugements hâtifs. Il questionne, non pas la réussite ou l’échec du métavers, mais les voies qu’il emprunte pour trouver sa véritable place dans nos vies. D’abord perçu comme un bouleversement radical, il se révèle peu à peu comme un espace qui s’installe progressivement, sans fracas, dans des usages plus pragmatiques et modestes. Ce qui semblait voué à l’éphémère pourrait finalement devenir une part plus subtile, plus durable, de notre quotidien numérique. Dans ces pages, il ne s’agit pas de célébrer ou de condamner le métavers, mais d’en comprendre les nuances. Les grandes révolutions, comme celle-ci, ne se déroulent jamais de manière linéaire. Elles vacillent, trébuchent, se relèvent. Le métavers n’échappe pas à cette règle. Il n’est pas l’objet d’un échec retentissant, mais d’une métamorphose, d’une adaptation continue aux réalités de notre époque, où il se cherche encore. En abordant le métavers sous cet angle, nous sommes invités à reconsidérer ce que nous attendons des technologies. Elles ne viennent pas pour tout changer d’un coup de baguette magique, mais pour se glisser dans les interstices de nos vies, en redéfinissant imperceptiblement nos pratiques et nos relations au monde. Le métavers ne fait pas exception : il chemine, parfois à tâtons, vers une intégration plus discrète, mais peut-être plus essentielle qu’il n’y paraît. Ainsi, Le métavers est mort ne constate pas la fin d’un rêve, mais en scrute la transformation. C’est une invitation à réfléchir à la manière dont cette technologie, bien loin d’être enterrée, continue de se réinventer. Peut-être moins visible, moins spectaculaire, elle n’en reste pas moins porteuse de promesses – pour ceux qui savent observer, patiemment, les lentes métamorphoses du progrès. <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/lemetaversestmort-241218175530-f6c1ef2c-thumbnail.jpg?width=120&height=120&fit=bounds" /><br> Le métavers, cet univers virtuel aux promesses infinies, a d’abord captivé l’imaginaire collectif par sa capacité à transcender les frontières du réel. Ses premières heures ont été marquées par un enthousiasme quasi-mystique, une promesse d’évasion totale, d’interactions inédites, d’une nouvelle forme de présence. Et pourtant, aujourd’hui, on murmure qu’il serait déjà mort, que ses ambitions se seraient dissoutes dans l’écume des désillusions technologiques. Mais qu’est-ce réellement que cette “mort” du métavers ? Ne s’agit-il pas, au fond, de cette transformation discrète et silencieuse qui affecte toute innovation à ses débuts, cette lente mue qui échappe aux regards trop pressés de juger ? Si le métavers ne tient pas les promesses tonitruantes que l’on attendait de lui, c’est peut-être parce qu’il évolue, presque en retrait, loin des projecteurs, pour se redéployer autrement. Ainsi, ce que l’on pense fini n’est souvent que l’amorce d’un nouveau commencement. Ce livre propose un voyage au cœur de cette évolution, loin des excès d’optimisme ou des jugements hâtifs. Il questionne, non pas la réussite ou l’échec du métavers, mais les voies qu’il emprunte pour trouver sa véritable place dans nos vies. D’abord perçu comme un bouleversement radical, il se révèle peu à peu comme un espace qui s’installe progressivement, sans fracas, dans des usages plus pragmatiques et modestes. Ce qui semblait voué à l’éphémère pourrait finalement devenir une part plus subtile, plus durable, de notre quotidien numérique. Dans ces pages, il ne s’agit pas de célébrer ou de condamner le métavers, mais d’en comprendre les nuances. Les grandes révolutions, comme celle-ci, ne se déroulent jamais de manière linéaire. Elles vacillent, trébuchent, se relèvent. Le métavers n’échappe pas à cette règle. Il n’est pas l’objet d’un échec retentissant, mais d’une métamorphose, d’une adaptation continue aux réalités de notre époque, où il se cherche encore. En abordant le métavers sous cet angle, nous sommes invités à reconsidérer ce que nous attendons des technologies. Elles ne viennent pas pour tout changer d’un coup de baguette magique, mais pour se glisser dans les interstices de nos vies, en redéfinissant imperceptiblement nos pratiques et nos relations au monde. Le métavers ne fait pas exception : il chemine, parfois à tâtons, vers une intégration plus discrète, mais peut-être plus essentielle qu’il n’y paraît. Ainsi, Le métavers est mort ne constate pas la fin d’un rêve, mais en scrute la transformation. C’est une invitation à réfléchir à la manière dont cette technologie, bien loin d’être enterrée, continue de se réinventer. Peut-être moins visible, moins spectaculaire, elle n’en reste pas moins porteuse de promesses – pour ceux qui savent observer, patiemment, les lentes métamorphoses du progrès.

from Charles Perez

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from Charles Perez

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