ºÝºÝߣshows by User: pierrealainfour / http://www.slideshare.net/images/logo.gif ºÝºÝߣshows by User: pierrealainfour / Sun, 11 Aug 2013 13:47:51 GMT ºÝºÝߣShare feed for ºÝºÝߣshows by User: pierrealainfour Le champ culturel est-il un univers en expansion ? https://fr.slideshare.net/slideshow/le-champ-culturel-estil-un-univers-en-expansion/25144775 glvcsance111aout13-130811134751-phpapp02
Si le « champ culturel » n’a jamais été un territoire strictement délimité, il est aujourd’hui plus que jamais, un espace difficile à borner. Le panorama proposé en introduction à cette première séance, cherche à éviter le dogmatisme et la définition normative. Éviter le dogmatisme, pour aider à l’élaboration de critères d’intervention pertinents pour le Grand Lyon, et non pas formuler ex abrupto ce qui doit être fait. Se garder d’une vision normative car l’art et la culture sont des notions socialement construites beaucoup plus qu’elles ne correspondent à une définition univoque. En présentant quelques références synthétiques sur l’état de l’intervention publique, sur l’état des pratiques des individus vis-à-vis des arts et des loisirs et sur l’état des propositions émanant d’acteurs qui revendiquent une position de créateurs, on espère donner quelques pistes pour mieux appréhender « le champ culturel » aujourd’hui. On peut d’ores et déjà signaler que ces indicateurs sont interdépendants : l’intervention publique a contribué, par exemple, à définir les contours du spectacle vivant, ce qui a entraîné de nouvelles propositions artistiques –que sont les arts de la rue par exemple–. Quant aux individus, ils ont eux aussi validé ou marginalisé les politiques publiques comme les propositions artistiques d’ailleurs. C’est donc l’analyse de ce jeu complexe qui sera seule à même de poser les enjeux d’une intervention publique originale, dans le vaste champ recomposé et en expansion semble-t-il constante, des arts et de la culture. ]]>

Si le « champ culturel » n’a jamais été un territoire strictement délimité, il est aujourd’hui plus que jamais, un espace difficile à borner. Le panorama proposé en introduction à cette première séance, cherche à éviter le dogmatisme et la définition normative. Éviter le dogmatisme, pour aider à l’élaboration de critères d’intervention pertinents pour le Grand Lyon, et non pas formuler ex abrupto ce qui doit être fait. Se garder d’une vision normative car l’art et la culture sont des notions socialement construites beaucoup plus qu’elles ne correspondent à une définition univoque. En présentant quelques références synthétiques sur l’état de l’intervention publique, sur l’état des pratiques des individus vis-à-vis des arts et des loisirs et sur l’état des propositions émanant d’acteurs qui revendiquent une position de créateurs, on espère donner quelques pistes pour mieux appréhender « le champ culturel » aujourd’hui. On peut d’ores et déjà signaler que ces indicateurs sont interdépendants : l’intervention publique a contribué, par exemple, à définir les contours du spectacle vivant, ce qui a entraîné de nouvelles propositions artistiques –que sont les arts de la rue par exemple–. Quant aux individus, ils ont eux aussi validé ou marginalisé les politiques publiques comme les propositions artistiques d’ailleurs. C’est donc l’analyse de ce jeu complexe qui sera seule à même de poser les enjeux d’une intervention publique originale, dans le vaste champ recomposé et en expansion semble-t-il constante, des arts et de la culture. ]]>
Sun, 11 Aug 2013 13:47:51 GMT https://fr.slideshare.net/slideshow/le-champ-culturel-estil-un-univers-en-expansion/25144775 pierrealainfour@slideshare.net(pierrealainfour) Le champ culturel est-il un univers en expansion ? pierrealainfour Si le « champ culturel » n’a jamais été un territoire strictement délimité, il est aujourd’hui plus que jamais, un espace difficile à borner. Le panorama proposé en introduction à cette première séance, cherche à éviter le dogmatisme et la définition normative. Éviter le dogmatisme, pour aider à l’élaboration de critères d’intervention pertinents pour le Grand Lyon, et non pas formuler ex abrupto ce qui doit être fait. Se garder d’une vision normative car l’art et la culture sont des notions socialement construites beaucoup plus qu’elles ne correspondent à une définition univoque. En présentant quelques références synthétiques sur l’état de l’intervention publique, sur l’état des pratiques des individus vis-à-vis des arts et des loisirs et sur l’état des propositions émanant d’acteurs qui revendiquent une position de créateurs, on espère donner quelques pistes pour mieux appréhender « le champ culturel » aujourd’hui. On peut d’ores et déjà signaler que ces indicateurs sont interdépendants : l’intervention publique a contribué, par exemple, à définir les contours du spectacle vivant, ce qui a entraîné de nouvelles propositions artistiques –que sont les arts de la rue par exemple–. Quant aux individus, ils ont eux aussi validé ou marginalisé les politiques publiques comme les propositions artistiques d’ailleurs. C’est donc l’analyse de ce jeu complexe qui sera seule à même de poser les enjeux d’une intervention publique originale, dans le vaste champ recomposé et en expansion semble-t-il constante, des arts et de la culture. <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/glvcsance111aout13-130811134751-phpapp02-thumbnail.jpg?width=120&amp;height=120&amp;fit=bounds" /><br> Si le « champ culturel » n’a jamais été un territoire strictement délimité, il est aujourd’hui plus que jamais, un espace difficile à borner. Le panorama proposé en introduction à cette première séance, cherche à éviter le dogmatisme et la définition normative. Éviter le dogmatisme, pour aider à l’élaboration de critères d’intervention pertinents pour le Grand Lyon, et non pas formuler ex abrupto ce qui doit être fait. Se garder d’une vision normative car l’art et la culture sont des notions socialement construites beaucoup plus qu’elles ne correspondent à une définition univoque. En présentant quelques références synthétiques sur l’état de l’intervention publique, sur l’état des pratiques des individus vis-à-vis des arts et des loisirs et sur l’état des propositions émanant d’acteurs qui revendiquent une position de créateurs, on espère donner quelques pistes pour mieux appréhender « le champ culturel » aujourd’hui. On peut d’ores et déjà signaler que ces indicateurs sont interdépendants : l’intervention publique a contribué, par exemple, à définir les contours du spectacle vivant, ce qui a entraîné de nouvelles propositions artistiques –que sont les arts de la rue par exemple–. Quant aux individus, ils ont eux aussi validé ou marginalisé les politiques publiques comme les propositions artistiques d’ailleurs. C’est donc l’analyse de ce jeu complexe qui sera seule à même de poser les enjeux d’une intervention publique originale, dans le vaste champ recomposé et en expansion semble-t-il constante, des arts et de la culture.
from Pierre-Alain Four
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Comment les digital humanities (ou les humanités numériques) transforment les SHS https://fr.slideshare.net/slideshow/comment-les-digital-humanities-ou-les-humanits-numriques-transforment-les-shs/25064530 digitalhumanities29juillet13-130808110936-phpapp02
Comment les digital humanities (ou les humanités numériques) transforment les SHS L’expression digital humanities est apparue récemment –elle a été forgée en 2006 lors de la parution de l’ouvrage « A companion to Digital Humanities » –, et fait notamment référence à l’émergence des nouvelles technologies du numérique (ou de l’informatique) dans le champ des sciences sociales. L’expression américaine digital humanities traduite en français par humanités numérique (ou plus rarement par humanités digitales) conceptualise ce phénomène nouveau. Ayant acquis une place de premier plan en quelques années, les humanités numériques ne sont cependant pas une nouvelle discipline des sciences sociales pas plus qu’elles ne peuvent être réduites à l’apparition d’une instrumentation nouvelle, aussi sophistiquée soit elle. Aussi, le champ que recouvre précisément cette appellation est complexe à définir : à ce stade, les digital humanities sont davantage un processus ou une dynamique qu’un concept clairement définissable… Ce dossier se propose avant tout de faire un point sur un changement en cours, sans prétendre à plus. Plusieurs indicateurs attestent de la place acquise par les humanités numériques. C’est finalement tout le monde de la recherche, toute sa structuration qui se trouve modifiée. Au niveau des champs de recherche, là aussi, les bouleversements sont nombreux : on assiste à la constitution de bases de données sans précédent jusqu’à aujourd’hui, concernant aussi bien des archives historiques (numérisation de corpus imprimés, mais aussi d’images et de documents de nature très variée) que de données contemporaines, issues notamment de l’usage d’Internet, des objets connectés (smart phone par exemple), etc. Tout ceci constitue de gigantesques corpus rendus accessibles par de nouveaux outils en capacité de les analyser. Cette aptitude à accumuler et traiter des informations se double d’une modification des activités des chercheurs : ils travaillent davantage en coopération, échangent plus vite, associent de très nombreuses compétences et profils… Autrement dit, les digital humanities contribuent à l’interdisciplinarité et renouvellent à la fois les problématiques (de nouvelles questions apparaissent) et la manière de les constituer, comme de les traiter. Enfin, on notera que les humanités numériques donnent l’occasion au chercheur de rendre public ses travaux autrement, par l’article scientifique certes, mais aussi par divers outils plus accessibles comme les blogs ou les carnets de recherche en ligne. Ce qui repose aussi la question de la relation chercheur / société, avec nombre de projets qui intègrent la participation de contributeurs non chercheurs (qui peuvent fournir des données, les commenter, etc). Autrement dit, les humanités numériques apparaissent comme un bon vecteur pour qui s’interroge sur les nouvelles pratiques de la recherche en sciences sociales.]]>

Comment les digital humanities (ou les humanités numériques) transforment les SHS L’expression digital humanities est apparue récemment –elle a été forgée en 2006 lors de la parution de l’ouvrage « A companion to Digital Humanities » –, et fait notamment référence à l’émergence des nouvelles technologies du numérique (ou de l’informatique) dans le champ des sciences sociales. L’expression américaine digital humanities traduite en français par humanités numérique (ou plus rarement par humanités digitales) conceptualise ce phénomène nouveau. Ayant acquis une place de premier plan en quelques années, les humanités numériques ne sont cependant pas une nouvelle discipline des sciences sociales pas plus qu’elles ne peuvent être réduites à l’apparition d’une instrumentation nouvelle, aussi sophistiquée soit elle. Aussi, le champ que recouvre précisément cette appellation est complexe à définir : à ce stade, les digital humanities sont davantage un processus ou une dynamique qu’un concept clairement définissable… Ce dossier se propose avant tout de faire un point sur un changement en cours, sans prétendre à plus. Plusieurs indicateurs attestent de la place acquise par les humanités numériques. C’est finalement tout le monde de la recherche, toute sa structuration qui se trouve modifiée. Au niveau des champs de recherche, là aussi, les bouleversements sont nombreux : on assiste à la constitution de bases de données sans précédent jusqu’à aujourd’hui, concernant aussi bien des archives historiques (numérisation de corpus imprimés, mais aussi d’images et de documents de nature très variée) que de données contemporaines, issues notamment de l’usage d’Internet, des objets connectés (smart phone par exemple), etc. Tout ceci constitue de gigantesques corpus rendus accessibles par de nouveaux outils en capacité de les analyser. Cette aptitude à accumuler et traiter des informations se double d’une modification des activités des chercheurs : ils travaillent davantage en coopération, échangent plus vite, associent de très nombreuses compétences et profils… Autrement dit, les digital humanities contribuent à l’interdisciplinarité et renouvellent à la fois les problématiques (de nouvelles questions apparaissent) et la manière de les constituer, comme de les traiter. Enfin, on notera que les humanités numériques donnent l’occasion au chercheur de rendre public ses travaux autrement, par l’article scientifique certes, mais aussi par divers outils plus accessibles comme les blogs ou les carnets de recherche en ligne. Ce qui repose aussi la question de la relation chercheur / société, avec nombre de projets qui intègrent la participation de contributeurs non chercheurs (qui peuvent fournir des données, les commenter, etc). Autrement dit, les humanités numériques apparaissent comme un bon vecteur pour qui s’interroge sur les nouvelles pratiques de la recherche en sciences sociales.]]>
Thu, 08 Aug 2013 11:09:36 GMT https://fr.slideshare.net/slideshow/comment-les-digital-humanities-ou-les-humanits-numriques-transforment-les-shs/25064530 pierrealainfour@slideshare.net(pierrealainfour) Comment les digital humanities (ou les humanités numériques) transforment les SHS pierrealainfour Comment les digital humanities (ou les humanités numériques) transforment les SHS L’expression digital humanities est apparue récemment –elle a été forgée en 2006 lors de la parution de l’ouvrage « A companion to Digital Humanities » –, et fait notamment référence à l’émergence des nouvelles technologies du numérique (ou de l’informatique) dans le champ des sciences sociales. L’expression américaine digital humanities traduite en français par humanités numérique (ou plus rarement par humanités digitales) conceptualise ce phénomène nouveau. Ayant acquis une place de premier plan en quelques années, les humanités numériques ne sont cependant pas une nouvelle discipline des sciences sociales pas plus qu’elles ne peuvent être réduites à l’apparition d’une instrumentation nouvelle, aussi sophistiquée soit elle. Aussi, le champ que recouvre précisément cette appellation est complexe à définir : à ce stade, les digital humanities sont davantage un processus ou une dynamique qu’un concept clairement définissable… Ce dossier se propose avant tout de faire un point sur un changement en cours, sans prétendre à plus. Plusieurs indicateurs attestent de la place acquise par les humanités numériques. C’est finalement tout le monde de la recherche, toute sa structuration qui se trouve modifiée. Au niveau des champs de recherche, là aussi, les bouleversements sont nombreux : on assiste à la constitution de bases de données sans précédent jusqu’à aujourd’hui, concernant aussi bien des archives historiques (numérisation de corpus imprimés, mais aussi d’images et de documents de nature très variée) que de données contemporaines, issues notamment de l’usage d’Internet, des objets connectés (smart phone par exemple), etc. Tout ceci constitue de gigantesques corpus rendus accessibles par de nouveaux outils en capacité de les analyser. Cette aptitude à accumuler et traiter des informations se double d’une modification des activités des chercheurs : ils travaillent davantage en coopération, échangent plus vite, associent de très nombreuses compétences et profils… Autrement dit, les digital humanities contribuent à l’interdisciplinarité et renouvellent à la fois les problématiques (de nouvelles questions apparaissent) et la manière de les constituer, comme de les traiter. Enfin, on notera que les humanités numériques donnent l’occasion au chercheur de rendre public ses travaux autrement, par l’article scientifique certes, mais aussi par divers outils plus accessibles comme les blogs ou les carnets de recherche en ligne. Ce qui repose aussi la question de la relation chercheur / société, avec nombre de projets qui intègrent la participation de contributeurs non chercheurs (qui peuvent fournir des données, les commenter, etc). Autrement dit, les humanités numériques apparaissent comme un bon vecteur pour qui s’interroge sur les nouvelles pratiques de la recherche en sciences sociales. <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/digitalhumanities29juillet13-130808110936-phpapp02-thumbnail.jpg?width=120&amp;height=120&amp;fit=bounds" /><br> Comment les digital humanities (ou les humanités numériques) transforment les SHS L’expression digital humanities est apparue récemment –elle a été forgée en 2006 lors de la parution de l’ouvrage « A companion to Digital Humanities » –, et fait notamment référence à l’émergence des nouvelles technologies du numérique (ou de l’informatique) dans le champ des sciences sociales. L’expression américaine digital humanities traduite en français par humanités numérique (ou plus rarement par humanités digitales) conceptualise ce phénomène nouveau. Ayant acquis une place de premier plan en quelques années, les humanités numériques ne sont cependant pas une nouvelle discipline des sciences sociales pas plus qu’elles ne peuvent être réduites à l’apparition d’une instrumentation nouvelle, aussi sophistiquée soit elle. Aussi, le champ que recouvre précisément cette appellation est complexe à définir : à ce stade, les digital humanities sont davantage un processus ou une dynamique qu’un concept clairement définissable… Ce dossier se propose avant tout de faire un point sur un changement en cours, sans prétendre à plus. Plusieurs indicateurs attestent de la place acquise par les humanités numériques. C’est finalement tout le monde de la recherche, toute sa structuration qui se trouve modifiée. Au niveau des champs de recherche, là aussi, les bouleversements sont nombreux : on assiste à la constitution de bases de données sans précédent jusqu’à aujourd’hui, concernant aussi bien des archives historiques (numérisation de corpus imprimés, mais aussi d’images et de documents de nature très variée) que de données contemporaines, issues notamment de l’usage d’Internet, des objets connectés (smart phone par exemple), etc. Tout ceci constitue de gigantesques corpus rendus accessibles par de nouveaux outils en capacité de les analyser. Cette aptitude à accumuler et traiter des informations se double d’une modification des activités des chercheurs : ils travaillent davantage en coopération, échangent plus vite, associent de très nombreuses compétences et profils… Autrement dit, les digital humanities contribuent à l’interdisciplinarité et renouvellent à la fois les problématiques (de nouvelles questions apparaissent) et la manière de les constituer, comme de les traiter. Enfin, on notera que les humanités numériques donnent l’occasion au chercheur de rendre public ses travaux autrement, par l’article scientifique certes, mais aussi par divers outils plus accessibles comme les blogs ou les carnets de recherche en ligne. Ce qui repose aussi la question de la relation chercheur / société, avec nombre de projets qui intègrent la participation de contributeurs non chercheurs (qui peuvent fournir des données, les commenter, etc). Autrement dit, les humanités numériques apparaissent comme un bon vecteur pour qui s’interroge sur les nouvelles pratiques de la recherche en sciences sociales.
from Pierre-Alain Four
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Des données au savoir : big data et data mining https://fr.slideshare.net/slideshow/des-donnes-au-savoir-big-data-et-data-mining/25064293 bigdatadatamining15juil13-130808110417-phpapp01
Des données au savoir : big data et data mining La numérisation croissante de nos activités, la capacité sans cesse accrue à stocker des données numériques, l’accumulation d’informations en tous genres qui en découle, génère un nouveau secteur d’activité qui a pour objet l’analyse de ces grandes quantité de données. Sont alors apparues de nouvelles approches, de nouvelles méthodes, de nouveaux savoirs et in fine sans doute, de nouvelles manières de penser et de travailler. Ainsi, cette très grande quantité de données –ou big data– et son traitement –ou data mining– sous-tendent de profonds bouleversements, qui touchent à l’économie, au marketing, mais aussi à la recherche et aux savoirs. Les enjeux économiques, scientifiques et éthiques de ces données sont considérables. Le fait qu’on se situe dans un secteur en évolution constante, où les changements sont fréquents et rapides, ne rend pas l’analyse aisée… Cependant, un arrêt sur image, imparfait, nécessairement incomplet et pour partie périssable, s’avère sans doute nécessaire afin de mieux comprendre ce que sont le big data et le data mining. Pour tenter d’y voir un peu plus clair, ce dossier thématique se propose de donner un éclairage à ce phénomène. ]]>

Des données au savoir : big data et data mining La numérisation croissante de nos activités, la capacité sans cesse accrue à stocker des données numériques, l’accumulation d’informations en tous genres qui en découle, génère un nouveau secteur d’activité qui a pour objet l’analyse de ces grandes quantité de données. Sont alors apparues de nouvelles approches, de nouvelles méthodes, de nouveaux savoirs et in fine sans doute, de nouvelles manières de penser et de travailler. Ainsi, cette très grande quantité de données –ou big data– et son traitement –ou data mining– sous-tendent de profonds bouleversements, qui touchent à l’économie, au marketing, mais aussi à la recherche et aux savoirs. Les enjeux économiques, scientifiques et éthiques de ces données sont considérables. Le fait qu’on se situe dans un secteur en évolution constante, où les changements sont fréquents et rapides, ne rend pas l’analyse aisée… Cependant, un arrêt sur image, imparfait, nécessairement incomplet et pour partie périssable, s’avère sans doute nécessaire afin de mieux comprendre ce que sont le big data et le data mining. Pour tenter d’y voir un peu plus clair, ce dossier thématique se propose de donner un éclairage à ce phénomène. ]]>
Thu, 08 Aug 2013 11:04:17 GMT https://fr.slideshare.net/slideshow/des-donnes-au-savoir-big-data-et-data-mining/25064293 pierrealainfour@slideshare.net(pierrealainfour) Des données au savoir : big data et data mining pierrealainfour Des données au savoir : big data et data mining La numérisation croissante de nos activités, la capacité sans cesse accrue à stocker des données numériques, l’accumulation d’informations en tous genres qui en découle, génère un nouveau secteur d’activité qui a pour objet l’analyse de ces grandes quantité de données. Sont alors apparues de nouvelles approches, de nouvelles méthodes, de nouveaux savoirs et in fine sans doute, de nouvelles manières de penser et de travailler. Ainsi, cette très grande quantité de données –ou big data– et son traitement –ou data mining– sous-tendent de profonds bouleversements, qui touchent à l’économie, au marketing, mais aussi à la recherche et aux savoirs. Les enjeux économiques, scientifiques et éthiques de ces données sont considérables. Le fait qu’on se situe dans un secteur en évolution constante, où les changements sont fréquents et rapides, ne rend pas l’analyse aisée… Cependant, un arrêt sur image, imparfait, nécessairement incomplet et pour partie périssable, s’avère sans doute nécessaire afin de mieux comprendre ce que sont le big data et le data mining. Pour tenter d’y voir un peu plus clair, ce dossier thématique se propose de donner un éclairage à ce phénomène. <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/bigdatadatamining15juil13-130808110417-phpapp01-thumbnail.jpg?width=120&amp;height=120&amp;fit=bounds" /><br> Des données au savoir : big data et data mining La numérisation croissante de nos activités, la capacité sans cesse accrue à stocker des données numériques, l’accumulation d’informations en tous genres qui en découle, génère un nouveau secteur d’activité qui a pour objet l’analyse de ces grandes quantité de données. Sont alors apparues de nouvelles approches, de nouvelles méthodes, de nouveaux savoirs et in fine sans doute, de nouvelles manières de penser et de travailler. Ainsi, cette très grande quantité de données –ou big data– et son traitement –ou data mining– sous-tendent de profonds bouleversements, qui touchent à l’économie, au marketing, mais aussi à la recherche et aux savoirs. Les enjeux économiques, scientifiques et éthiques de ces données sont considérables. Le fait qu’on se situe dans un secteur en évolution constante, où les changements sont fréquents et rapides, ne rend pas l’analyse aisée… Cependant, un arrêt sur image, imparfait, nécessairement incomplet et pour partie périssable, s’avère sans doute nécessaire afin de mieux comprendre ce que sont le big data et le data mining. Pour tenter d’y voir un peu plus clair, ce dossier thématique se propose de donner un éclairage à ce phénomène.
from Pierre-Alain Four
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Les émergences culturelles https://fr.slideshare.net/slideshow/les-mergences-culturelles/24871887 emergence13nov09-130802094947-phpapp01
Le champ culturel est en perpétuel mouvement et a fait de l’émergence un de ses traits d’identité les plus caractéristiques. Mais plusieurs facteurs contribuent à rendre le repérage de l’émergence plus complexe qu’autrefois : les frontières du domaine culturel s’élargissent, le public change de place, les nouvelles technologies modifient le rapport à l’œuvre, alors que les disciplines identifiées continuent à se renouveler et à pratiquer l’émergence… Aussi, la question de la nature du regard à porter devient-elle centrale, puisqu’il faut embrasser un panorama très large couvrant différentes pratiques qui ne sont pas encore admises dans le champ artistique, mais qui ne peuvent en être exclues, toutes sortes de technologies, toutes sortes d’attitudes… Cette séance dédiée aux « Nouvelles disciplines, nouvelles pratiques individuelles : les chemins variés de l’émergence culturelle », se propose de faire le point sur les jeunes pousses identifiées ou en passe de l’être, manière d’insister sur la nécessité d’en faire un repérage plus systématisé et mieux capitalisé. ]]>

Le champ culturel est en perpétuel mouvement et a fait de l’émergence un de ses traits d’identité les plus caractéristiques. Mais plusieurs facteurs contribuent à rendre le repérage de l’émergence plus complexe qu’autrefois : les frontières du domaine culturel s’élargissent, le public change de place, les nouvelles technologies modifient le rapport à l’œuvre, alors que les disciplines identifiées continuent à se renouveler et à pratiquer l’émergence… Aussi, la question de la nature du regard à porter devient-elle centrale, puisqu’il faut embrasser un panorama très large couvrant différentes pratiques qui ne sont pas encore admises dans le champ artistique, mais qui ne peuvent en être exclues, toutes sortes de technologies, toutes sortes d’attitudes… Cette séance dédiée aux « Nouvelles disciplines, nouvelles pratiques individuelles : les chemins variés de l’émergence culturelle », se propose de faire le point sur les jeunes pousses identifiées ou en passe de l’être, manière d’insister sur la nécessité d’en faire un repérage plus systématisé et mieux capitalisé. ]]>
Fri, 02 Aug 2013 09:49:47 GMT https://fr.slideshare.net/slideshow/les-mergences-culturelles/24871887 pierrealainfour@slideshare.net(pierrealainfour) Les émergences culturelles pierrealainfour Le champ culturel est en perpétuel mouvement et a fait de l’émergence un de ses traits d’identité les plus caractéristiques. Mais plusieurs facteurs contribuent à rendre le repérage de l’émergence plus complexe qu’autrefois : les frontières du domaine culturel s’élargissent, le public change de place, les nouvelles technologies modifient le rapport à l’œuvre, alors que les disciplines identifiées continuent à se renouveler et à pratiquer l’émergence… Aussi, la question de la nature du regard à porter devient-elle centrale, puisqu’il faut embrasser un panorama très large couvrant différentes pratiques qui ne sont pas encore admises dans le champ artistique, mais qui ne peuvent en être exclues, toutes sortes de technologies, toutes sortes d’attitudes… Cette séance dédiée aux « Nouvelles disciplines, nouvelles pratiques individuelles : les chemins variés de l’émergence culturelle », se propose de faire le point sur les jeunes pousses identifiées ou en passe de l’être, manière d’insister sur la nécessité d’en faire un repérage plus systématisé et mieux capitalisé. <img style="border:1px solid #C3E6D8;float:right;" alt="" src="https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/emergence13nov09-130802094947-phpapp01-thumbnail.jpg?width=120&amp;height=120&amp;fit=bounds" /><br> Le champ culturel est en perpétuel mouvement et a fait de l’émergence un de ses traits d’identité les plus caractéristiques. Mais plusieurs facteurs contribuent à rendre le repérage de l’émergence plus complexe qu’autrefois : les frontières du domaine culturel s’élargissent, le public change de place, les nouvelles technologies modifient le rapport à l’œuvre, alors que les disciplines identifiées continuent à se renouveler et à pratiquer l’émergence… Aussi, la question de la nature du regard à porter devient-elle centrale, puisqu’il faut embrasser un panorama très large couvrant différentes pratiques qui ne sont pas encore admises dans le champ artistique, mais qui ne peuvent en être exclues, toutes sortes de technologies, toutes sortes d’attitudes… Cette séance dédiée aux « Nouvelles disciplines, nouvelles pratiques individuelles : les chemins variés de l’émergence culturelle », se propose de faire le point sur les jeunes pousses identifiées ou en passe de l’être, manière d’insister sur la nécessité d’en faire un repérage plus systématisé et mieux capitalisé.
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https://public.slidesharecdn.com/v2/images/profile-picture.png https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/glvcsance111aout13-130811134751-phpapp02-thumbnail.jpg?width=320&height=320&fit=bounds slideshow/le-champ-culturel-estil-un-univers-en-expansion/25144775 Le champ culturel est-... https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/digitalhumanities29juillet13-130808110936-phpapp02-thumbnail.jpg?width=320&height=320&fit=bounds slideshow/comment-les-digital-humanities-ou-les-humanits-numriques-transforment-les-shs/25064530 Comment les digital hu... https://cdn.slidesharecdn.com/ss_thumbnails/bigdatadatamining15juil13-130808110417-phpapp01-thumbnail.jpg?width=320&height=320&fit=bounds slideshow/des-donnes-au-savoir-big-data-et-data-mining/25064293 Des données au savoir ...